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  • L'euro numérique arrive en 2029 ?
    C’est un projet discret, mais hautement stratégique : l’euro numérique vient de franchir une nouvelle étape. Bruxelles a annoncé cette semaine un calendrier clair pour la création de cette future monnaie digitale, pensée comme un antidote à la domination des géants américains du paiement, Visa et Mastercard, mais aussi comme un rempart face à la montée en puissance des stablecoins adossés au dollar.Selon le plan dévoilé, la phase pilote de l’euro numérique devrait débuter en 2027, à condition qu’un cadre légal soit adopté au niveau européen dès l’année prochaine. Si tout se déroule comme prévu, les citoyens du Vieux Continent pourraient commencer à l’utiliser dès 2029. Pour Piero Cipollone, membre du directoire de la Banque centrale européenne, il ne s’agit pas d’un simple projet technologique, mais bien d’un « effort collectif pour préparer l’avenir du système monétaire européen ».Mais derrière l’enthousiasme des institutions, les banques commerciales grincent des dents. Leur crainte : voir les particuliers transférer une partie de leurs dépôts vers cette nouvelle monnaie numérique émise directement par la BCE, ce qui fragiliserait leurs ressources. Pour rassurer le secteur, Bruxelles prévoit un plafond de détention fixé à 3 000 euros par personne, un seuil censé éviter la fuite des capitaux… mais qui pourrait être révisé à l’avenir.En toile de fond, l’euro numérique illustre un bras de fer économique et politique. D’un côté, l’Europe veut réduire sa dépendance aux systèmes de paiement étrangers. De l’autre, les banques défendent leurs marges et misent sur le développement de stablecoins libellés en euros comme alternative. Entre souveraineté monétaire et réticences du secteur financier, la route vers l’euro numérique promet d’être longue Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:59
  • Netflix veut racheter Warner Bros Discovery ?
    C’est une information qui fait trembler tout Hollywood. Selon Reuters, Netflix envisagerait rien de moins que le rachat de Warner Bros Discovery, l’un des plus grands studios de cinéma au monde — et propriétaire de HBO Max, son concurrent direct dans le streaming. Une opération potentiellement historique, qui pourrait bouleverser l’équilibre de toute l’industrie du divertissement.Le géant californien, déjà valorisé à près de 460 milliards de dollars, vise un objectif clair : atteindre le trillion, soit mille milliards de dollars de capitalisation d’ici la fin de la décennie. Pour y parvenir, Netflix veut frapper fort. Il aurait mandaté la banque d’investissement Moelis & Co pour étudier la faisabilité du rachat. Une banque d’affaires réputée, déjà à l’origine de l’acquisition de Paramount Global par Skydance Media.L’entreprise aurait d’ores et déjà eu accès aux informations financières confidentielles de Warner Bros Discovery, afin d’évaluer la solidité de ses actifs et la pertinence d’une offre. En clair : Netflix ne se contente plus de produire, il veut devenir un géant du contenu global, de la production au streaming. Pour l’instant, Warner Bros Discovery reste prudente. Le groupe, qui aurait reçu d’autres propositions — notamment de Comcast et de Paramount Skydance Corp —, les a toutes jugées insuffisantes. Mais si l’accord venait à se concrétiser, Netflix mettrait la main sur des licences mythiques : Harry Potter, Game of Thrones, Friends, ou encore Batman et Superman. Et surtout, il absorberait HBO Max, fort de ses 120 millions d’abonnés. En un mot, cette fusion serait un séisme industriel. Netflix deviendrait non seulement le roi du streaming, mais aussi un poids lourd du cinéma mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:01
  • Pourquoi Intel ouvre un pop-up store à Paris ?
    Intel muscle sa communication avant la sortie de sa nouvelle génération de puces Panther Lake. Le géant américain des semi-conducteurs vient d’annoncer l’ouverture de cinq boutiques éphémères, à Séoul, New York, Londres, Munich et Paris. Une opération de séduction mondiale, pensée à la fois pour se rapprocher du grand public, montrer ses innovations et, accessoirement, marquer les esprits avant les fêtes de fin d’année.La première de ces boutiques a ouvert ses portes le 30 octobre à Munich, et donne un avant-goût de ce que les visiteurs parisiens découvriront à partir du 5 novembre. Selon le site spécialisé NotebookCheck, ce “pop-up” allemand présente une large gamme d’ordinateurs portables équipés des nouvelles puces Lunar Lake et Arrow Lake, les fers de lance d’Intel pour 2025. Les plus grands constructeurs répondent à l’appel : HP, Lenovo, Dell, ASUS, Acer, MSI, LG ou encore Samsung. Ces magasins éphémères ne se limitent pas à l’exposition : les visiteurs peuvent tester les machines et repartir directement avec.Intel met également en avant ses Chromebook et ses ordinateurs professionnels, comme les Lenovo ThinkPad ou HP EliteBook, destinés aux entreprises. Mais à Paris, l’expérience se voudra plus immersive. L’enseigne Boulanger s’associe à l’opération pour proposer des démonstrations interactives autour de l’intelligence artificielle : détection de deepfakes, outils de productivité, ou encore génération de contenu en temps réel. Le “Intel Experience Store” parisien ouvrira ses portes du 5 au 30 novembre, au 14 boulevard Poissonnière, dans le neuvième arrondissement. Une adresse symbolique, au cœur d’un quartier bouillonnant de tech et de culture numérique. Pour Intel, l’enjeu est double : raviver sa proximité avec le public à l’heure où la concurrence s’intensifie, notamment avec AMD et Apple, et rappeler que le PC reste un terrain d’innovation. Entre vitrines spectaculaires et vitrines commerciales, ces boutiques sont autant de laboratoires d’image destinés à repositionner Intel au centre du jeu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:02
  • L’IA sauve une famille d’une facture médicale énorme ?
    C’est une histoire à la fois tragique et révélatrice des dérives du système de santé américain. Sur le réseau Threads, un internaute connu sous le pseudonyme @nthmonkey a raconté comment Claude AI, le chatbot développé par Anthropic, l’a aidé à contester une facture hospitalière de 195 000 dollars — soit près de 180 000 euros — réclamée après le décès de son beau-frère, victime d’une crise cardiaque.Le patient n’était plus couvert par son assurance santé depuis deux mois, et l’hôpital a facturé les quatre dernières heures passées en soins intensifs à un tarif démesuré. En cherchant à comprendre, la famille a d’abord réclamé une ventilation détaillée des coûts. Mais la transparence a tardé à venir : certaines lignes, comme une mention « Cardiology » à 70 000 dollars, restaient sans explication. Après de multiples relances, l’établissement a finalement transmis les codes de facturation médicale standard. C’est là que l’intelligence artificielle est entrée en jeu.Claude AI a analysé les données et détecté plusieurs anomalies flagrantes. La principale : une double facturation. L’hôpital avait facturé à la fois une procédure complète et chacune de ses composantes séparément, une pratique interdite par Medicare. Cette erreur représentait, à elle seule, près de 100 000 dollars de frais injustifiés. L’IA a aussi repéré des incohérences dans les codes d’urgence, des actes ventilatoires facturés deux fois le même jour, et d’autres irrégularités susceptibles de violer les règles de facturation.Mais le plus surprenant, c’est que Claude AI n’a pas seulement servi d’auditeur numérique : le chatbot a également rédigé des lettres de contestation juridiques, évoquant les risques d’actions en justice et de mauvaise publicité pour l’hôpital. Résultat : la facture a été ramenée à 33 000 dollars. Pour @nthmonkey, cette expérience révèle à quel point les établissements de santé profitent souvent de la complexité administrative, en espérant que les familles n’oseront pas contester. L’IA, elle, a permis de rétablir un semblant de justice dans un système où la moindre erreur se chiffre en dizaines de milliers de dollars. Une première victoire symbolique de la technologie contre les excès de la bureaucratie médicale américaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:18
  • Amazon & OpenAI, un contrat à 38 milliards de dollars ?
    C’est un scoop technologique majeur : Amazon Web Services et OpenAI viennent de sceller un accord historique de 38 milliards de dollars sur sept ans, officialisé ce lundi 3 novembre. Derrière cette somme colossale, un objectif clair : donner à Sam Altman et son équipe les moyens de pousser l’intelligence artificielle générative à ses limites, grâce à la puissance de calcul du géant du cloud.Concrètement, OpenAI va bénéficier d’un accès privilégié à l’infrastructure d’Amazon, notamment aux serveurs EC2 UltraServers, des monstres de performance équipés des toutes dernières puces NVIDIA GB200 et GB300. Ces processeurs graphiques de nouvelle génération seront déployés à une échelle vertigineuse : jusqu’à 500 000 unités interconnectées, capables de supporter à la fois le fonctionnement de ChatGPT et l’entraînement des futurs modèles. À cela s’ajoutent des millions de processeurs CPU classiques pour alimenter les agents autonomes, ces IA capables d’exécuter des tâches complexes sans intervention humaine.Tout devrait être opérationnel d’ici fin 2026, avec une montée en puissance prévue en 2027. L’enjeu, pour Amazon, est aussi de minimiser la latence et d’offrir une infrastructure sur mesure pour les besoins démesurés d’OpenAI. « Alors qu’OpenAI continue de repousser les limites du possible, l’infrastructure d’AWS servira de colonne vertébrale à leurs ambitions », s’est félicité Matt Garman, patron d’AWS. Mais ce partenariat n’est pas né du jour au lendemain. Les deux entreprises collaborent déjà via Amazon Bedrock, la plateforme d’AWS qui permet d’intégrer des modèles d’IA dans les outils d’entreprise. OpenAI y est rapidement devenu l’un des fournisseurs les plus sollicités, avec des clients prestigieux comme Thomson Reuters, Peloton ou Verana Health, qui utilisent ses modèles pour la recherche, la programmation ou la gestion automatisée. Pour Sam Altman, l’alliance avec Amazon répond à une nécessité stratégique : « Faire évoluer l’IA de pointe nécessite une puissance de calcul massive et fiable. Ce partenariat va alimenter une nouvelle ère où l’intelligence artificielle avancée sera accessible à tous. » Dans la course mondiale à l’IA, une chose est désormais claire : celui qui contrôle les serveurs contrôle l’avenir. Et OpenAI vient, peut-être, de prendre une longueur d’avance décisive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:22

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